Loin des clichés sur la « démission silencieuse », la jeunesse demeure attachée au travail. Elle demande simplement un contrat plus équilibré : respect, impact et bien-être. Décryptage des attentes clés et pistes pour réinventer l’organisation du travail.
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Une étude récente menée auprès de 6 000 jeunes Européens de 16 à 30 ans met fin au mythe d’une génération désengagée. 80 % des répondants déclarent qu’ils continueraient à exercer une activité professionnelle même sans nécessité financière. Loin du « quiet quitting », ils recherchent un cadre de travail qui ait du sens – mais 66 % pointent un décalage entre rêve et réalité.
La jeunesse actuelle ne rejette pas le travail, elle en réinvente les fondations. Trois priorités émergent avec force dans leurs aspirations professionnelles.
Premièrement, la rémunération juste, perçue comme un symbole d’indépendance et de reconnaissance. Pour beaucoup, un salaire digne n’est pas un luxe, mais un socle nécessaire pour construire une vie autonome. Pourtant, nombreux sont ceux qui déplorent des salaires d’entrée largement en décalage avec le coût réel de la vie, surtout dans les grandes villes européennes.
Deuxièmement, la qualité de vie au travail est devenue une exigence majeure. Les jeunes recherchent de l’autonomie, des horaires flexibles et un environnement de travail stimulant et sain. En retour, ils se heurtent trop souvent à une charge mentale excessive, à des modes de management rigides et à des rythmes de travail imprévisibles.
Enfin, le besoin de sens et d’impact se fait de plus en plus pressant. Travailler ne suffit plus : il faut contribuer à quelque chose de plus grand, aligné avec ses valeurs. Or, dans les faits, beaucoup dénoncent des missions répétitives, déconnectées des enjeux sociétaux, avec un manque flagrant de vision globale.
Ces trois piliers — rémunération, qualité de vie et sens — forment le cœur des attentes d’une jeunesse prête à s’investir, à condition qu’on lui propose un contrat moral plus équilibré.
Le facteur le plus cité comme motif de désillusion : le stress. Qu’il provienne d’objectifs flous, de managers absents ou d’attentes contradictoires, il nourrit la lassitude et pousse les talents vers des organisations plus alignées – ou vers l’entrepreneuriat.
La jeunesse ne tourne pas le dos au travail ; elle appelle à un nouveau pacte fondé sur la réciprocité. Rémunération équitable, qualité de vie, impact réel et sécurité psychologique deviennent les marqueurs d’employeurs attractifs. Entreprises, institutions et établissements d’enseignement ont l’occasion – et la responsabilité – d’inventer ce futur du travail où l’ambition individuelle ne sera plus synonyme de désillusion collective.